Deux questions sont étudiées dans cet article. La première concerne la présence de la critique de la religion établie à Gênes et en Ligurie à la fin du XVIIIe et au XIXe siècle, comme dans les publications érotiques et les lampions antireligieux. La deuxième partie décrit comment l’Inquisition romaine et la Congregatio pro Indice Librorum Prohibitorum ont censuré les écrits de Vincenzo Palmieri, un janséniste ligure. Les sources archivistiques attestent que l’œuvre de Palmieri était considérée comme faisant partie de l’apologétique de son temps et comme une influence importante dans la diffusion du jansénisme, de la critique de l’autorité papale et de l’appel à la liberté religieuse.
Paolo FontanaVincenzo Palmieri (1753-1820):un giansenista davanti all’Indice, in Atti dell’Accademia Ligure di Scienze e Lettere, vol II, 2020.
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